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LA VIE ET LA MORT

1’40

2015

Une tentative pour exprimer métaphoriquement le drame de l’existence en 1mn et 40 s avec un téléphone Samsung 

DAMIEN CABANES

LE HAUT DU PAVE

14’

2016

Avec une certaine hauteur, la visite d’une simple exposition de peintures prend l’aspect d’une joyeuse petite fête . 

WAGON VERT

15’

2012

C’est au cours d’une période d’oisiveté forcée par la perte de mon atelier que je me suis tourné momentanément vers l’image en mouvement. En effet je consacrais la majeur partie de mon temps durant cette période (un an)

à rechercher un atelier pour poursuivre mon travail de sculpture et de peinture, dans ce but je sillonnais  les rues de Paris et de ses environs sans relâche, l’esprit dégagé passagèrement de tout soucis liés à la réalisation de mon travail offrant alors une disponibilité mentale et visuelle. Il n y’a pratiquement pas de montage.

ON NE SAIT PLUS CE QUE L’ON A

60’

2012

 Il est souvent dit qu’un arrêt de travail, une suspension d’activité peut être bénéfique et révéler certaines vérités,

faire découvrir des choses.

C’est au cours d’une période d’oisiveté forcée par la perte de mon atelier que je me suis tourné momentanément

vers l’image en mouvement. En effet je consacrais la majeur partie de mon temps durant cette période (un an)

à rechercher un atelier pour poursuivre mon travail de sculpture et de peinture, dans ce but je sillonnais les rues

de Paris et de ses environs sans relâche, l’esprit dégagé passagèrement de tout soucis liés à la réalisation de mon

travail offrant alors une disponibilité mentale et visuelle.

Il se passe beaucoup de choses dans les rues! tout un "théâtre" m’est apparu au cours de ces flâneries digne

d’être enregistré. Maintenant bien qu’ayant un atelier, je continue de filmer. Il s agit de rencontres au cours de

promenades, de visites d’amis … rien n’est prémédité, c’est l’absence de scénario qui est le moteur principal

de cette démarche et il n y’a pratiquement pas de montage.

ON NE SAIT PLUS CE QUE L’ON A

60’

2012

 Il est souvent dit qu’un arrêt de travail, une suspension d’activité peut être bénéfique et révéler certaines vérités,

faire découvrir des choses.

C’est au cours d’une période d’oisiveté forcée par la perte de mon atelier que je me suis tourné momentanément

vers l’image en mouvement. En effet je consacrais la majeur partie de mon temps durant cette période (un an)

à rechercher un atelier pour poursuivre mon travail de sculpture et de peinture, dans ce but je sillonnais les rues

de Paris et de ses environs sans relâche, l’esprit dégagé passagèrement de tout soucis liés à la réalisation de mon

travail offrant alors une disponibilité mentale et visuelle.

Il se passe beaucoup de choses dans les rues! tout un "théâtre" m’est apparu au cours de ces flâneries digne

d’être enregistré. Maintenant bien qu’ayant un atelier, je continue de filmer. Il s agit de rencontres au cours de

promenades, de visites d’amis … rien n’est prémédité, c’est l’absence de scénario qui est le moteur principal

de cette démarche et il n y’a pratiquement pas de montage.

Ne sont présentés ici que les films du réalisateur projetés pendant les  soirées « Sangria For Yaya »

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© Nicolas Barrié pour les photos reproduites en dehors des photos extraites des films
Droits réservés pour l'ensemble des images, toute reproduction même partielle est interdite sans autorisation de l'auteur.

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